Pour la première fois depuis longtemps, j'étais excitée par quelque chose, une nouvelle aventure. Pour la première fois, mon père m'avait proposé de l'accompagner dans sa tournée des Districts où il a des sociétés pour s'occuper de ses affaires sur place, rencontrer le personnel et s'assurer que tout allait pour le mieux.
Etant née dans l'une des 4 familles les plus fortunées et les plus puissantes du Capitole, j'avais toujours été privilégiée. J'avais tout, tout de suite et surtout tout ce que je voulais. Ainsi au fur et à mesure que je grandissais et que les années passaient je finissais par me lasser de tout et ne plus avoir goût à grand chose. Tout me semblait morne et facile. Ma vie était déjà toute tracée.
Alors que j'en parlais à mon père, assise sur son bureau pendant qu'il bidouillait encore une de ses inventions, ce dernier s'était soudain arrêté et d'un geste nonchalant m'avait dit que si je le voulais, je n'avais qu'à l'accompagner dans les districts.
J'avais écarquillé les yeux car ma mère s'était toujours opposée à ce genre d'aventures lorsque je lui demandais de parcourir Panem, d'en voir toute l'étendu. Cette fois seulement elle ne s'y opposa pas (mon père avait dû être sacrément convaincant).
Ainsi donc je partais à l'aventure. Je regardais d'un air émerveillé le train qui allait nous conduire quand à côté de moi, mon père était terriblement blasé et toujours aussi cool et nonchalant (il faut dire qu'il laissait toute idée même de stress à ma mère). Très apprécié et respecté par le personnel qui le saluait avec politesse et certains avec un franc plaisir, on s'installa sur l'un des sièges luxueux et confortable. Direction le District 9 !
Nous mirent la journée à rejoindre ce District et nous arrivèrent en garde du District 9 en début de soirée. Nous nous dirigeâmes immédiatement au palais de justice sous escorte. Mon père m'expliqua que vu ses origines et vu sa position, cette mesure était imposée par le Gouvernement pour préserver sa sécurité.
Tandis que mon père faisait bon gré, mal gré, des banalités avec le maire du District j'en profitai pour me faufiler hors de l'enceinte du palais de justice en prétextant que j'avaos besoin d'air, que je me sentais mal.
Alors que je respirai le bon air du soir je croisa le regard d'une jeune fille d'à peu près mon âge visiblement intimidée. Je ne savais quelle attitude adopter envers elle et lui laissa le choix de faire éventuellement le premier pas.
Etant née dans l'une des 4 familles les plus fortunées et les plus puissantes du Capitole, j'avais toujours été privilégiée. J'avais tout, tout de suite et surtout tout ce que je voulais. Ainsi au fur et à mesure que je grandissais et que les années passaient je finissais par me lasser de tout et ne plus avoir goût à grand chose. Tout me semblait morne et facile. Ma vie était déjà toute tracée.
Alors que j'en parlais à mon père, assise sur son bureau pendant qu'il bidouillait encore une de ses inventions, ce dernier s'était soudain arrêté et d'un geste nonchalant m'avait dit que si je le voulais, je n'avais qu'à l'accompagner dans les districts.
J'avais écarquillé les yeux car ma mère s'était toujours opposée à ce genre d'aventures lorsque je lui demandais de parcourir Panem, d'en voir toute l'étendu. Cette fois seulement elle ne s'y opposa pas (mon père avait dû être sacrément convaincant).
Ainsi donc je partais à l'aventure. Je regardais d'un air émerveillé le train qui allait nous conduire quand à côté de moi, mon père était terriblement blasé et toujours aussi cool et nonchalant (il faut dire qu'il laissait toute idée même de stress à ma mère). Très apprécié et respecté par le personnel qui le saluait avec politesse et certains avec un franc plaisir, on s'installa sur l'un des sièges luxueux et confortable. Direction le District 9 !
Nous mirent la journée à rejoindre ce District et nous arrivèrent en garde du District 9 en début de soirée. Nous nous dirigeâmes immédiatement au palais de justice sous escorte. Mon père m'expliqua que vu ses origines et vu sa position, cette mesure était imposée par le Gouvernement pour préserver sa sécurité.
Tandis que mon père faisait bon gré, mal gré, des banalités avec le maire du District j'en profitai pour me faufiler hors de l'enceinte du palais de justice en prétextant que j'avaos besoin d'air, que je me sentais mal.
Alors que je respirai le bon air du soir je croisa le regard d'une jeune fille d'à peu près mon âge visiblement intimidée. Je ne savais quelle attitude adopter envers elle et lui laissa le choix de faire éventuellement le premier pas.